jeudi 8 novembre 2012

Dégoût.


Tu me dégoûtes  Tu fais souffrir les gens, et ça ne te fais rien. Je ne sais pas si tu es totalement insensible ou si tu ne t'en rend juste pas compte, mais c'est méprisable.
Comment peux-tu te regarder dans le miroir ? Après ce que tu fais subir aux autres, par plaisir, comment peux-tu ? Tu te sers des autres. Tu les prends, tu les manipules, tu les utilises et tu les laisses là, tous transis d'amour. Mais tu n'as pas le droit de faire ça. Je ne te parles pas de ce que tu fais de ton cul, ça, ça ne regarde que toi. Non, je te parle des sentiments des autres. Tu n'as pas le droit de te foutre de ce que les gens ressentent, comme ça. Tu n'as pas le droit de piétiner les gens, de ne penser qu'à ton bonheur et à ton petit nombril. Tu n'as pas le droit de laisser les autres graviter autour de ton petit monde pendant que tu t'étouffe dans ton égoïsme et dans ton égocentrisme, de les laisser en haleine en leur faisant apercevoir une minuscule lueur d'espoir de temps en temps avant de retourner à tes petites minauderies habituelles, tes plaintes comme quoi tu ne sais quoi penser de lui et du message qu'il t'as envoyé tout à l'heure.
Tu me dégoute aussi par ton hypocrisie. Tu change de meilleure amie subitement et tu oublies celle dont tu ne pouvais pas te passer 5 minutes plus tôt. Et tu ne te gènes pas pour étaler sa vie et ses secrets, à l'humilier et à l'afficher. Mais attention, qu'elle ne fasse surtout pas pareil, parce que là se serait une salope. Ca non plus tu n'as pas le droit de le faire si tu veux avoir un semblant de dignité. Mais je ne crois pas que le mot dignité ait encore le droit de faire partie de ton vocabulaire.
Tu dis que je te regardes de travers, avec un regard hautain et méprisant, que je me pense supérieure. Et tu sais quoi, tu n'as pas tord. Tu me débectes, tu m'écoeures, tu me révulses. Tout ce que j'éprouve pour toi, c'est du mépris, c'est certain. J'ai l'orgueil de me croire supérieure à toi, je l'avoue. Parce que même si je suis critiquable et même si je ne fais pas toujours preuve de tact, j'ai au moins la délicatesse de mesurer ce que je dis en pensant aux autres.
Alors je le dis, et je le pense profondément : Tu n'es vraiment qu'une salope.

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